Démarche diagnostique devant une douleur de l’épaule

Public concerné*

Médecin

Prix de la formation

560.5€

Durée de la formation

7 h

Résumé

La douleur de l’épaule est un motif de consultation très fréquent Le médecin spécialiste en médecine générale est dans la grande majorité des cas le premier recours en cas de douleur de ou des épaules. Douleurs mécaniques, inflammatoires, dégénératives ou traumatiques de l’adulte qu’il soit jeune, plus avancé en âge ou senior, les problématiques sont nombreuses et complexes. Le médecin généraliste doit rapidement élaborer un chemin diagnostic étiologique pour proposer par la suite un traitement adapté à chaque situation. Pour porter aisément ce diagnostic étiologique il devra développer rapidement une analyse clinique méthodique et critique. Et dans ce but il s’appuiera sur des outils diagnostiques alignés sur la CIM 10, des arbres décisionnels validés et examens complémentaires autant que de besoin. Cette action de formation est individuelle non présentielle asynchrone et intégrée : elle comprend une phase d’analyse de pratiques sous forme d’audit clinique ciblé. Cet audit repose sur une analyse de dossiers de patients de l’apprenant. Le motif de consultation des patients sélectionnés était l’épaule douloureuse avec une phase cognitive dont le support pédagogique est une formation interactive en ligne

Objectifs

Objectifs généraux :
• améliorer la pratique clinique devant une douleur aiguë ou chronique de l’épaule, mécanique inflammatoire ou post-traumatique…
• demander, interpréter en fonction de la clinique les bons examens complémentaires,
• porter le bon diagnostic qui appellera une prise en charge adaptée.
Objectif d’apprentissage :
A l’issue de la formation le stagiaire doit :
• orienter correctement son interrogatoire devant une épaule douloureuse
• maîtriser la sémiologie de base d’une douleur articulaire
• réaliser les différents tests cliniques de l’épaule et connaître leur signification
• différencier les pathologies mécaniques des pathologies inflammatoires ou autres
• connaître les examens complémentaires utiles, prescrire et savoir expliquer aux patients ceux qui s’avèrent inutiles
• porter le bon diagnostic en s’appuyant sur les algorithmes telles la CIM 10, du dictionnaire des 252 consultations de la SFMG ou équivalents